mon parcours en quelques mots

les débuts

Depuis 1969, je peins sans autre souci que celui de « faire ce que j’ai à faire ». Des personnages aux couleurs violemment soutenues, suivis de personnages gris et interrogatifs et des couples, des scènes familiales, .. me racontais-je ma vie ? essayais-je de capter l’âme des personnages ? Figuratifs et expressionnistes, je souhaitais qu’ils expriment des sentiments universels, sans âge, sans anecdotes, ne racontant qu’une histoire simple, celle de toutes les relations humaines.

Un tableau est un miroir dans lequel le spectateur se retrouve parfois, éprouve alors l’émotion que j’y ai mise, et là, le tableau est réussi !

Le bouleversement total

En 2004, bouleversement total, je suis envahie par les châteaux cathares venus de l’enfance, un voyage dans le Mzab qui m’avait bouleversé et à mon grand étonnement je me rapproche alors de l’abstraction ! Les châteaux cathares allaient se transformer en armadas, violence intérieure non dissimulée puis vint l’exposition à New York, une nouvelle émotion s’empare de moi et des toiles de grands formats, éclatantes de lumière arrivent…
Venise la douce vint calmer le jeu et aujourd’hui émergent de grands passages venus du sud où Ghardaïa la belle qui ne cesse de m’émouvoir.

Aujourd’hui, place à l’apaisement

Venise la douce vint calmer le jeu et aujourd’hui émergent de grands passages venus du sud où Ghardaïa la belle qui ne cesse de m’émouvoir.

Résumé en quelques lignes ma vie de peintre où l’art a joué son véritable rôle de passeur d’émotions qui permettent à l’être humain de se construire ; l’art aide à vivre le créateur et l’amateur, leurs échanges sont fructueux car touchés par un partage intérieur émotionnel inimaginable !